Beautiful Losers testo
Hocus Pocus
Testo
J'zappe du coq à l'âne: du coquard de Rihanna
Au geyser de Mentos et Coca light,
De canal en canal, d'Ilan à Youssouf Fofana,
D'Obama à la brasse de Loana,
Deux nanas et leur "...".
Pourquoi j'matte ça? Ça ne m'avance pas, ça va de soi!
Daft Punk sur les dix doigts,
Miss Amanda, le pe-ra et les francs CFA,
Une blondinette en coupé-décalé Gwada,
Un ninja, coupe afro, joue du nunchaku,
Les photos d'autopsie de Tupac Shakur.
Chaque jour, j'passe du morbide au futile,
Me perds dans un dédale d'images inutiles.
Une gamine empile des gobelets en pyramide,
J'me dis qu'elle est rapide et qu'mon temps j'dilapide.
Dans la tamise, on surfe à la dynamite, l'ami,
Pour avoir son quart d'heure de gloire comme Andy l'a dit.
People, people, people, people...
Beautiful losers...
Sit up straight and listen,
Just too much information,
Please won't you let me be,
Is it my own choice, that it puzzles me so?
Stop! Need to turn you off, yes it's time to go...
Calmness breeds imagination,
And silence ponctuates the sound,
It's a very numbing feeling as
Our pencils hit the ground,
The quiet fire of revolution,
Once again starts inside.
People, people, people, people...
Beautiful losers...
Une révolution sponsorisée par Nokia;
La souffrance d'un Etat dans le regard de Neda,
Pardonnez-moi, si je ne m'attarde pas
Mais je préfère l'hélicoptère façon Kâma-Sùtra.
Amy sous crack, Britney la boule à Z,
Laure le boule à l'air, à l'aise, comme Paris t'as vu la scène?
J'ai la pupille carrée, les yeux injectés de sang
A force de fixer l'écran dans l'écran.
Je rentre dans les rangs, lentement, sans élan,
Égarant mon temps dans l'errance, plan sur plan.
Truqué comme "Portables et pop corn",
Yankee comme Port d'armes et hot dog!
Ray-Ban et top model, en pleine crise chausser les skis,
Banquable comme Bruni Tedeschi.
Peu d'esprit, juste du ness-bi,
De la vie une pale copie,
Une industrie qui balbutie,
Une industrie qui balbutie.
Au geyser de Mentos et Coca light,
De canal en canal, d'Ilan à Youssouf Fofana,
D'Obama à la brasse de Loana,
Deux nanas et leur "...".
Pourquoi j'matte ça? Ça ne m'avance pas, ça va de soi!
Daft Punk sur les dix doigts,
Miss Amanda, le pe-ra et les francs CFA,
Une blondinette en coupé-décalé Gwada,
Un ninja, coupe afro, joue du nunchaku,
Les photos d'autopsie de Tupac Shakur.
Chaque jour, j'passe du morbide au futile,
Me perds dans un dédale d'images inutiles.
Une gamine empile des gobelets en pyramide,
J'me dis qu'elle est rapide et qu'mon temps j'dilapide.
Dans la tamise, on surfe à la dynamite, l'ami,
Pour avoir son quart d'heure de gloire comme Andy l'a dit.
People, people, people, people...
Beautiful losers...
Sit up straight and listen,
Just too much information,
Please won't you let me be,
Is it my own choice, that it puzzles me so?
Stop! Need to turn you off, yes it's time to go...
Calmness breeds imagination,
And silence ponctuates the sound,
It's a very numbing feeling as
Our pencils hit the ground,
The quiet fire of revolution,
Once again starts inside.
People, people, people, people...
Beautiful losers...
Une révolution sponsorisée par Nokia;
La souffrance d'un Etat dans le regard de Neda,
Pardonnez-moi, si je ne m'attarde pas
Mais je préfère l'hélicoptère façon Kâma-Sùtra.
Amy sous crack, Britney la boule à Z,
Laure le boule à l'air, à l'aise, comme Paris t'as vu la scène?
J'ai la pupille carrée, les yeux injectés de sang
A force de fixer l'écran dans l'écran.
Je rentre dans les rangs, lentement, sans élan,
Égarant mon temps dans l'errance, plan sur plan.
Truqué comme "Portables et pop corn",
Yankee comme Port d'armes et hot dog!
Ray-Ban et top model, en pleine crise chausser les skis,
Banquable comme Bruni Tedeschi.
Peu d'esprit, juste du ness-bi,
De la vie une pale copie,
Une industrie qui balbutie,
Une industrie qui balbutie.